Dans la baie cristalline de Sataya, au sud de l’Égypte, j'ouvre un espace rare à celles et ceux qui souhaitent se rencontrer profondément à travers la respiration, le silence, la mer, et la présence vibrante des dauphins libres.
Ce n’est pas un stage pour “aller plus loin”, “tenir plus longtemps” ou “descendre plus profond”.
C’est une invitation à déprogrammer les réflexes de résultat et de contrôle, et à retrouver le goût d’un souffle qui relie.
À Sataya, les dauphins sont là… mais jamais à notre service.
Ils nous enseignent l’humilité du lien, la danse fluide du vivant, la justesse de l’instant.
Par leur présence libre, parfois proche, parfois distante, ils nous renvoient à notre propre capacité d’écoute, à notre état intérieur.
Nous ne “nageons” pas avec les dauphins : nous les rencontrons.
Et dans cette rencontre se révèle souvent une vérité que l’on ne peut ni forcer ni anticiper.
Chaque jour, nous explorons l’apnée non pas comme un défi, mais comme un espace de lenteur, de ressenti, de silence intérieur.
Nous descendons non pas pour conquérir, mais pour nous laisser rejoindre par quelque chose de plus vaste.
Des séances de respiration consciente, des explorations aquatiques, des temps d’intégration sur le bateau rythment la retraite.
Une expérience forte n’est rien si elle ne traverse pas la peau de la vie quotidienne.
C’est pourquoi nous portons une attention particulière à l’ancrage :
• en laissant de l’espace pour l’intégration
• en nommant ce qui s’est vécu
• en repartant avec des outils concrets : pratiques de respiration, d’écoute, d’auto-régulation, de retour à soi.
Ces outils ne sont pas techniques.
Ce sont des gestes de présence, simples, qui peuvent changer la qualité d’un matin, d’une décision, d’un lien.
“Je suis rentrée avec une autre façon de respirer… et une autre façon d’écouter.”
"Les dauphins ont réveillé une partie de moi que j’avais oubliée.”
"Ce n’est pas un stage. C’est un passage.”